Les Rives aux grives
Il était si fier mon lac en joncs
celui qui m'a vu souffrir en silence
pas plus sur le seuil d'un tronc.
Plus qu'un hautbois pour une leçon,
mes notes ne baissaient pas de plus
pour celui d'un clerc et de sa chanson.
Le bonheur d'un ton qui rêvait et qui jouait
pour le sillon de ma musique d'hiver.
près de mes barres ,de ma pole dance que j'ai
Il était si fier ,mon lac quand il gelait encore ,
comme de " Moi " pour ma glotte qui souffrait ,
et mes pas qui fouillaient sur le for ,
Les rives aux grives ne se levaient sur le ciel argenté ,
et mon écho en donnais de ma crise ,
quand j' ai songé à me relever ,pour un de mes aimés.
Mes mots et mes maux me faisaient mal ,
tant mon ventre en anorexie,
pour un Valanois qui était là ,pour un idéal , .
Il était fier mon lac ,quand il rêvait,
sur le seuil plié de ses joncs d'une seine d'hier
dans mes nuits, de mes cris d'hier de janvier
Les matins d'hivers ne riaient plus si chauds ,
sur les ouvertures sur le fier boréal ,
de mes songes d' ado , dans mon hameau.
Les rives ne se cachaient plus ,
sans mes grives d'une Normandie
qui se posaient sur mon lac givré
Il était fier mon lac
www.FLSamyelle@fr
,
Il était si fier mon lac en joncs
celui qui m'a vu souffrir en silence
pas plus sur le seuil d'un tronc.
Plus qu'un hautbois pour une leçon,
mes notes ne baissaient pas de plus
pour celui d'un clerc et de sa chanson.
Le bonheur d'un ton qui rêvait et qui jouait
pour le sillon de ma musique d'hiver.
près de mes barres ,de ma pole dance que j'ai
Il était si fier ,mon lac quand il gelait encore ,
comme de " Moi " pour ma glotte qui souffrait ,
et mes pas qui fouillaient sur le for ,
Les rives aux grives ne se levaient sur le ciel argenté ,
et mon écho en donnais de ma crise ,
quand j' ai songé à me relever ,pour un de mes aimés.
Mes mots et mes maux me faisaient mal ,
tant mon ventre en anorexie,
pour un Valanois qui était là ,pour un idéal , .
Il était fier mon lac ,quand il rêvait,
sur le seuil plié de ses joncs d'une seine d'hier
dans mes nuits, de mes cris d'hier de janvier
Les matins d'hivers ne riaient plus si chauds ,
sur les ouvertures sur le fier boréal ,
de mes songes d' ado , dans mon hameau.
Les rives ne se cachaient plus ,
sans mes grives d'une Normandie
qui se posaient sur mon lac givré
Il était fier mon lac
www.FLSamyelle@fr
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